Et si l’enchevêtrement des corps de nuit<br />
Se fait dans la turbulence amassée des jours sans éclats<br />
Qu’à l’aube naissante mon corps se souvienne du beau<br />
Et mon âme de sa légèreté<br />
Pour que la truculence soit devenue<br />
L’empreinte qui tapisse mon devenir